Les 10 bonnes raisons de suivre les Charlotte Hornets en 2025-26
Le 24 sept. 2025 à 14:01 par Nicolas Vrignaud

Nouvelle saison NBA est synonyme de nouveau tour d’horizon des franchises au cours des 30 previews en 30 jours. Même si certaines équipes sont, sur le papier, plus attendues que d’autres, toutes ont des raisons d’être suivies cette année. On continue la série avec les Hornets, et mine de rien… ça donne (un petit peu) envie !
#1 : LaMelo Ball qui fait le show
Parce qu’il est capable d’inventer un move en plein match, de faire un geste qui va faire le tour de la planète basket. L’extravagance, si elle était un joueur de basketball. LaMelo Ball, c’est une expérience. L’impression qu’il fait parfois n’importe quoi, mais tout est en réalité maîtrisé. Enfin, peut-être que c’est ce que l’on croit. Peut-être que même lui ne sait pas trop ce qu’il fait. Dans tous les cas, c’est souvent sublime à voir. Et on ne peut que vous conseiller fortement.
RIDICULOUS LAMELO 3… TIES THE GAME AT 97!
33 PTS for Ball… we’re headed to OT in Philly! pic.twitter.com/33XT71EBhX
— NBA (@NBA) November 11, 2024
#2 : Moussa Diabaté qui se bat comme un lion dans la raquette
La belle histoire de la saison passée ! Moussa Diabaté qui s’impose dans la raquette des Hornets à coup de double-doubles et de dunks enragés. Un nettoyeur d’arceau qui s’est taillé une belle réputation en peu de temps, et qui apparaît désormais comme une pièce incontournable de l’effectif de Charles Lee.
Cette saison, l’idée sera de disputer la place de titulaire (pourquoi pas ?) avec Mason Plumlee, recruté durant l’été. Rien d’impossible, car Moussa incarne la jeunesse et pourra en plus jouir de l’expérience de son nouveau coéquipier.
#3 : Tidjane Salaun qui fait son trou dans la rotation
Après une saison un peu plombée par les blessures, et démarrée de manière un peu compliquée avec un manque de confiance assez visible sur le terrain, Tidjane Salaün doit désormais mettre la barre haut. Il en a largement les capacités, et on le sait. En fin de saison, il a commencé a mieux jouer avec son physique, conséquence de son passage réussi en G League où il s’est bâti un socle de certitudes nécessaire pour la suite.
DAMN TIDJANE SALAÜN !!! 👀
Il est énorme depuis quelques minutes ! 🫡😳pic.twitter.com/Nr2WJZTgbH
— TrashTalk (@TrashTalk_fr) March 8, 2025
Cette saison, on prie pour que les blessures le laissent tranquille et qu’il puisse avoir de la constance. Charles Lee doit lui faire confiance, il a beaucoup d’armes efficaces dans son jeu. On est derrière toi, petit prince.
#4 : Brandon Miller en Paul George 2.0
Un joueur capable d’éteindre une équipe entière lorsqu’il est chaud… et qu’il est apte à jouer. Brandon Miller est un joueur extraordinaire et cette phrase n’est pas susceptible d’être remise en cause. Seulement, Brandon Miller, c’est aussi une dernière saison à 27 matchs joués. Un crève-coeur pour les Hornets, mais pour tous les fans de basket aussi, quand on constate l’impact qu’il peut avoir sur un match.
Un scoreur ultra-polyvalent, qui sent le jeu avec beaucoup de justesse. En duo avec LaMelo Ball, c’est un vrai show qui vaut le détour !
#5 : Kon Knueppel qui enchaine les ficelles de loin
Le rookie est un shooteur reconnu, peut-être le meilleur de sa cuvée. Un sniper qui va envoyer des pralines de loin dès qu’il sera ouvert, et qui va bénéficier à mort des caviars distribués par ses meneurs. Bonne nouvelle pour Kon, car cette année, ce n’est plus uniquement LaMelo Ball qui va pouvoir le mettre dans un fauteuil, mais également un Spencer Dinwiddie, un Tre Mann, et peut-être même un Collin Sexton. Autant de joueurs qui vont chercher à lui filer le cuir pour allumer depuis le parking. Le soir où l’arceau est grand comme une piscine, ça risque d’être un sacré spectacle !
#6 : Josh Green qui laisse une jambe sur le parquet plutôt que de perdre un ballon
Ce type est un grand malade. Et cette vidéo est là pour vous le prouver.
#7 : Eric Collins qui se pète la voix au micro avec Dell Curry
Ce commentateur est sans doute LA raison de regarder un match des Hornets, presque devant les joueurs. Eric Collins, c’est la voix capable de vous faire vivre un Hornets – Pelicans de mi-janvier comme un Game 7 de Finales NBA. C’est simplement magnifique, ça égaye une nuit devant la télévision.
#8 : Les Collin Sexton Games
Encore un type qui peut se muer en feu-follet, et qui est capable d’éteindre tous ses adversaires lorsque les astres s’alignent. Ce ne sera peut-être pas ce qu’on lui demandera en premier lieu chez les Hornets cette saison, car il y a d’autres enjeux et une hiérarchie à respecter, mais on prendra avec grand plaisir lorsque ça arrivera.
#9 : Grant Williams qui se prend le chou avec ses adversaires
Sans être non plus un Draymond Green de Caroline du Nord, Grant Williams est quelqu’un qui aime bien s’embrouiller avec ses adversaires. Peut-être une manière de se rendre important dans le groupe, puisqu’il n’est plus aussi efficace qu’avant en termes de basket. Dans tous les cas, chaque équipe a besoin de ce mec capable de rentrer dans une tête. Attention, c’est souvent à double-tranchant. Soit ça marche et on éteint l’adversaire, soit on l’énerve et on assume les conséquences, dans le jeu mais pas seulement…
#10 : La police de Caroline du Nord
Parce qu’elle aurait du venir chercher ce blaireau de Miles Bridges depuis longtemps. Et qu’elle reste à l’affût car cette équipe a une forte propension à compter sur des joueurs qui aiment bien enfreindre la loi.