CollinMurray-Boyles
Statistiques de la saison 2024-2025
Profil Draft NBA 2025 – Collin Murray-Boyles : le prospect le plus intrigant de la cuvée ?
Un joueur très polarisant, mais aussi très talentueux.
Collin Murray-Boyles selon TrashTalk
Il n’a rien d’un poisson. Collin Murray-Boyles est un joueur de basketball américain qui évolue actuellement à South Carolina, chez les Gamecocks en NCAA. Il mesure 2m01, pèse 109 kilos et joue au poste de pivot ou d’ailier fort. Né à Columbia, en Caroline du Sud, le 18 juillet 2004, Collin Murray-Boyles est projeté en fin de loterie ou milieu de premier tour à la Draft NBA 2025.
Collin Murray-Boyles, le bulldozer cérébral
Collin Murray-Boyles ne domine pas les raquettes par sa taille, mais par son envergure, sa science du placement, et sa capacité à tout faire. À 2m01, il semble petit pour le poste d’intérieur, mais il compense avec des bras interminables (2m13 d’envergure), une explosivité redoutable, et un moteur qui ne s’éteint jamais. Défensivement, il peut switcher sur plusieurs positions, contester les tirs au cercle, intercepter les lignes de passe et jouer les chiens de garde en 1-contre-1.
Mais là où il surprend encore plus, c’est par son Q.I. basket impressionnant pour un joueur de sa position. À South Carolina, il a souvent été utilisé comme point d’appui dans le jeu en mouvement : passe main-main, lecture de coupe, création depuis le poste haut. Résultat : 2,4 passes décisives par match, une vision de jeu qui fait penser à un ailier organisateur, et une vraie capacité à fluidifier le jeu autour de lui.
Côté scoring, Murray-Boyles n’est pas le joueur le plus spectaculaire, mais il est redoutablement efficace : 16,8 points par match à 58,6% au tir, principalement sur du jeu près du cercle, du rebond offensif et du jeu rapide. Il provoque, termine avec autorité, et prend des décisions rapides. Son principal chantier ? Le tir extérieur, encore trop peu fiable (26,5% à 3-points), et un jeu sans ballon qu’il doit davantage affiner pour exister en NBA loin de la raquette.
Une progression sans détour… mais avec du style
Formé à A.C. Flora High School dans sa Caroline natale, où il enchaîne les double-doubles, Collin décide ensuite de faire sa dernière année à la Wasatch Academy, un lycée reconnu dans le circuit national. Là-bas, il montre qu’il peut briller face à une opposition plus dense : 15 points, près de 9 rebonds de moyenne, et une vraie montée en puissance dans les rankings nationaux.
Il rejoint South Carolina en 2023, un choix local mais stratégique. Rapidement propulsé titulaire dans un effectif en manque de leaders, il impressionne dès sa première saison. Résultat : All-Freshman Team en 2024, puis All-SEC Second Team en 2025. Il devient le moteur d’une équipe moyenne qu’il porte presque à lui seul dans la raquette, tout en s’imposant comme l’un des meilleurs intérieurs “non classiques” du pays.
Un prospect qui coche bien plus de cases qu’on ne pense
C’est peut-être l’un des joueurs les plus intrigants de cette cuvée 2025. Son profil ne saute pas aux yeux dans une Draft qui aime les shooteurs létaux et les extérieurs explosifs, mais Collin Murray-Boyles séduit les scouts NBA par son efficacité, sa dureté, sa polyvalence et sa discipline.
Il tourne à 16,8 points, 8,3 rebonds, 2,4 passes, 1,5 interception et 1,3 contre en moyenne sur la saison 2024-25. Une ligne de stats complète, solide, avec des pourcentages qui respirent l’intelligence (58,6 % au tir). Il a aussi brillé sur certaines rencontres face à des équipes mieux classées, et s’est montré très solide lors du NBA Draft Combine. Le fait d’avoir intégré la Green Room de la Draft confirme cette tendance.
Un profil NBA-ready, dans le bon rôle
Sa taille pourrait lui coûter quelques places, son tir aussi. Mais dans une NBA qui valorise le jeu rapide, le switch, le hustle, et la création depuis le poste haut, Collin Murray-Boyles a un vrai rôle à jouer. Il pourrait très bien intégrer une rotation dès sa première saison et évoluer comme un glue-guy très productif.
Certains le comparent à Draymond Green, d’autres à Grant Williams ou même à un PJ Washington plus tactique. Une chose est sûre : si son tir s’améliore, il a le profil pour devenir un joueur majeur dans une équipe compétitive, avec de vraies responsabilités des deux côtés du terrain.
Collin Murray-Boyles selon TrashTalk
Il n’a rien d’un poisson. Collin Murray-Boyles est un joueur de basketball américain qui évolue actuellement à South Carolina, chez les Gamecocks en NCAA. Il mesure 2m01, pèse 109 kilos et joue au poste de pivot ou d’ailier fort. Né à Columbia, en Caroline du Sud, le 18 juillet 2004, Collin Murray-Boyles est projeté en fin de loterie ou milieu de premier tour à la Draft NBA 2025.
Collin Murray-Boyles, le bulldozer cérébral
Collin Murray-Boyles ne domine pas les raquettes par sa taille, mais par son envergure, sa science du placement, et sa capacité à tout faire. À 2m01, il semble petit pour le poste d’intérieur, mais il compense avec des bras interminables (2m13 d’envergure), une explosivité redoutable, et un moteur qui ne s’éteint jamais. Défensivement, il peut switcher sur plusieurs positions, contester les tirs au cercle, intercepter les lignes de passe et jouer les chiens de garde en 1-contre-1.
Mais là où il surprend encore plus, c’est par son Q.I. basket impressionnant pour un joueur de sa position. À South Carolina, il a souvent été utilisé comme point d’appui dans le jeu en mouvement : passe main-main, lecture de coupe, création depuis le poste haut. Résultat : 2,4 passes décisives par match, une vision de jeu qui fait penser à un ailier organisateur, et une vraie capacité à fluidifier le jeu autour de lui.
Côté scoring, Murray-Boyles n’est pas le joueur le plus spectaculaire, mais il est redoutablement efficace : 16,8 points par match à 58,6% au tir, principalement sur du jeu près du cercle, du rebond offensif et du jeu rapide. Il provoque, termine avec autorité, et prend des décisions rapides. Son principal chantier ? Le tir extérieur, encore trop peu fiable (26,5% à 3-points), et un jeu sans ballon qu’il doit davantage affiner pour exister en NBA loin de la raquette.
Une progression sans détour… mais avec du style
Formé à A.C. Flora High School dans sa Caroline natale, où il enchaîne les double-doubles, Collin décide ensuite de faire sa dernière année à la Wasatch Academy, un lycée reconnu dans le circuit national. Là-bas, il montre qu’il peut briller face à une opposition plus dense : 15 points, près de 9 rebonds de moyenne, et une vraie montée en puissance dans les rankings nationaux.
Il rejoint South Carolina en 2023, un choix local mais stratégique. Rapidement propulsé titulaire dans un effectif en manque de leaders, il impressionne dès sa première saison. Résultat : All-Freshman Team en 2024, puis All-SEC Second Team en 2025. Il devient le moteur d’une équipe moyenne qu’il porte presque à lui seul dans la raquette, tout en s’imposant comme l’un des meilleurs intérieurs “non classiques” du pays.
Un prospect qui coche bien plus de cases qu’on ne pense
C’est peut-être l’un des joueurs les plus intrigants de cette cuvée 2025. Son profil ne saute pas aux yeux dans une Draft qui aime les shooteurs létaux et les extérieurs explosifs, mais Collin Murray-Boyles séduit les scouts NBA par son efficacité, sa dureté, sa polyvalence et sa discipline.
Il tourne à 16,8 points, 8,3 rebonds, 2,4 passes, 1,5 interception et 1,3 contre en moyenne sur la saison 2024-25. Une ligne de stats complète, solide, avec des pourcentages qui respirent l’intelligence (58,6 % au tir). Il a aussi brillé sur certaines rencontres face à des équipes mieux classées, et s’est montré très solide lors du NBA Draft Combine. Le fait d’avoir intégré la Green Room de la Draft confirme cette tendance.
Un profil NBA-ready, dans le bon rôle
Sa taille pourrait lui coûter quelques places, son tir aussi. Mais dans une NBA qui valorise le jeu rapide, le switch, le hustle, et la création depuis le poste haut, Collin Murray-Boyles a un vrai rôle à jouer. Il pourrait très bien intégrer une rotation dès sa première saison et évoluer comme un glue-guy très productif.
Certains le comparent à Draymond Green, d’autres à Grant Williams ou même à un PJ Washington plus tactique. Une chose est sûre : si son tir s’améliore, il a le profil pour devenir un joueur majeur dans une équipe compétitive, avec de vraies responsabilités des deux côtés du terrain.
